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LES ANTILLAIS SONT LES PLUS COUILLONS DE LA PLANETE SELON RICHARD LYNN !

Ces statistiques sont issues d’un travail mené entre 2002 et 2006 par Richard Lynn, professeur britannique en psychologie, et Tatu Vanhanen, professeur finlandais en science politique, défenseurs de l’eugénisme, qui ont tous deux mené de études plus que controversées sur l’intelligence dans plus de 80 pays. Leur conclusion : les blancs sont plus intelligents que les noirs, expliquant cette « infériorité » par le fait qu’en raison d’un climat plus rude, les personnes des pays du Nord auraient développé un cerveau plus évolué.

Richard Lynn, pseudo scientifique et raciste convaincu

 

L’île de Sainte-Lucie serait ainsi l’avant-dernière du classement mondial en matière de quotient intellectuel ( 62 de QI), devançant seulement la Guinée Equatoriale, bonne dernière avec un score de 59. Les Antillais des petites Antilles seraient donc les humains ayant les plus faibles résultats aux tests relatifs au quotient intellectuel, selon les résultats controversés des chercheurs Lynn et Vanhanen, dressant un tableau comparatif du QI moyen par nation.

En 2006, dans «  Races differences in intelligence », Lynn a établi l’intelligence moyenne des différentes races d’homo sapiens, telles que détectées génétiquement.

1- Asiatiques de l’ Est ( 105 ) Chine, Japon, Corée, Taïwan.

2-Européens ( 99 ) mais aussi Australie, Canada,… pays peuplés d’Européens

3- Asiatiques du Sud-Est ( 87) Indonésie, Laos, Malaisie, Philippines, Vietnam

4- Amérindiens ( 86)

5- Pacific Islanders ( 85)

6- Nord Africains et Moyens orientaux ( 84)

7- Africains sub-sahariens ( 67)

Il veut démontrer la haute fidélité prédictive de ces mesures et leur grande utilité prédictive. Cet ouvrage décrit les bases évolutives de l’évolution de l’intelligence depuis les premiers mammifères en passant par les oiseaux, les primates, et l’évolution du genre homo.

Il indique que les Africains d’Afrique subsaharienne ont un QI moyen de 67 et donc que les nations composées majoritairement d’Africains ont ce QI moyen de 67. Il avait par ailleurs affirmé en 2001 dans  « IQ and the wealth of nations », que 75 % des variations en terme de PIB par habitant, d’un point de vue international, sont à mettre sur le compte des variations intellectuelles entre les pays du globe.

En 2006, sort «  IQ and Global Inequality », qui est une suite actualisée de IQ and the Wealth of Nations, dans lequel Lynn et Vanhanen démontrent qu’une grande partie des variations sociales à travers le monde sont sous-tendues par les différences de QI entre les populations et les nations.

En 2008, Lynn a publié «  The Global bell curve ». Il certifie que quelque soit le pays multi-ethnique à travers le monde, la hiérarchie sociale reste strictement déterminée par le QI moyen. Il n’est pas besoin de faire un dessin. Quelle que soit la contrée, les Noirs sont au bas de l’échelle,  car selon Lynn leurs capacités intellectuelles sont réduites.

Dans le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley, les humains sont également prédéterminés en fonction de leur origine : les Alpha, les Bêta. Mais attention ! Tout cela sera établi «  scientifiquement ». Ainsi en 1989, une étude a été menée pour mesurer le quotient intellectuel d’enfants coréens adoptés par des familles belges. Ces enfants présentaient un QI moyen de 119. Après correction des effets de variation liés au revenu des parents, le QI des enfants coréens adoptés était encore de 10 points plus élevé que le QI moyen des enfants belges d’ascendance européenne. ( The Intelligence of Korean children adopted in Belgium, in Science Direct, Marcel Frydman, Richard Lynn).

Le QI moyen des pays africains est donné comme suit :

Cameroon : 64 – Cent. African Republic : 64 – Congo-Brazzaville : 64

Equatorial Guinea : 59 – Ethiopia : 64 – Ghana : 71

Guinea : 67 – Kenya:72 – Mozambique:64

Nigeria : 69 – Sierra Leone : 64 – South Africa : 72

Sudan : 71 – Swaziland : 72 – Tanzanie : 72

Uganda : 73 – Zambie : 71 – Zimbabwe : 66

Et dans notre zone caraïbe ? Nous savons que les populations de la Guadeloupe et de la Martinique ne sont pas recensées, faisant partie de l’ensemble français. Cependant, nous aurions quelques indications sur «  notre intelligence », car les auteurs ont tout prévu. Dans les régions métissées d’Amérique latine et de la Caraïbe, le QI moyen est prédictible sur la proportion de différentes races.

Haïti est gratifié d’un 67, conforme au QI moyen pour les populations d’origine africaine sub-saharienne, tout comme Saint-Christophe et Nevis, et tout comme l’île de la Dominique.

Ile de la Dominique : 67 ( 90 % African, 6 % Mulatto, 4 % Amerindian)

Jamaïque: 71 ( 76 % African, 15 % Mulatto, 3% Europen, 3% east Indian)

République Dominicaine : 82 ( 11 % African, 73 % Mulatto, 16 % European)

Saint-Vincent : 71 ( 65 % African, 23 % Mixed and other, 6% East Indian, 2% Amerindian, 4 % European)

Sainte-Lucie : 62 ( 90 % African, 6 % Mulatto, 3 % East Indian ) affole les compteurs.

L’Argentine mesurée avec un QI de 93 ( 85 % European, 15 % Amerindian and Mestizo), Barbade avec un QI de 80 ( 80 % African, 15 % Mulatto, 4 % European), Les Bermudes avec un QI de 90 ( 61 % African and Mulatto, 37 % European), le Brésil avec un QI de 87 ( 53 % European, 3 % Amerindian, 12 % Mestizo, 11 % African, 22 %Mulatto) sont quelques exemples de la liste établie.

 

Mais il n’était nul besoin d’un classement «  scientifique » en Guadeloupe, en Martinique, et en Guyane, pour se rendre compte que les résultats scolaires sont catastrophiques, que les déficits d’attention, les retards sont visibles pour tout observateur neutre. Il n’y a pas seulement à prendre en compte la fainéantise actuelle de nos gamins, mais aussi comme les chercheurs le démontrent, LA  CHUTE DRAMATIQUE DU QUOTIENT INTELLECTUEL AUX ANTILLES GUYANE ( voir article de 97 LAND du 11 janvier 2017).

Quels étaient les constats établis dans cet article ?

En Guadeloupe, les nourrissons de 7 mois, selon l’étude TIMOUN, présentée par Sylvaine CORDIER , épidémiologiste et directrice de recherches à l’INSERM au sein de l’Unité de recherche «  Recherches épidémiologiques sur l’environnement, la reproduction et le développement » (  voir son exposé  Chlordécone et développement de l’enfant du 27 septembre 2013), pouvaient présenter des pertes de quotient intellectuel qui allaient de 10 à 20 points !

Et en effet, l’un des principaux facteurs de la baisse de quotient intellectuel est l’exposition dès la vie foetale à une pollution chimique diffuse. Selon Barbara DEMENEIX*, biologiste et directrice du département Régulation, développement et diversité au MNHN de Paris, il n’y a également pas de doute. Les hommes sont victimes des perturbateurs endocriniens présents dans les pesticides.

Certains de ces perturbateurs endocriniens interfèrent sur le fonctionnement de la glande thyroïde. Ils agissent sur les voies endocriniennes qui sont essentielles pour le développement du cerveau. Or ces hormones sont connues pour moduler l’expression des gènes pilotant la formation de structures complexes comme l’hippocampe ou le cortex cérébrelleux.

Notre développement intellectuel est et sera ralenti pour très longtemps.Car l’atteinte est particulièrement grave lorsqu’elle touche un enfant in utero ou un enfant dans les premiers âges de la vie. C’est irréversible.

Les enfants antillais dès la naissance ont un retard conséquent, de par l’exposition au chlordécone, qui ne pourra jamais être rattrapé. Entendez-vous nos hommes politiques, nos responsables, et tous ceux qui conduisent la politique de l’éducation évoquer les ravages du chlordécone sur nos cerveaux ? Pourquoi cacher la vérité ? Mais ce n’est pas tout. Selon la chercheuse, parmi également les causes multiples, on peut citer la combustion de charbon qui produit le mercure, mercure également produit par  l’activité minière de l’or. Le mercure peut inhiber l’action des enzymes qui potentialisent ces mêmes hormones.

Quid alors de la centrale bagasse-charbon du Moule en Guadeloupe ? Quid de l’activité aurifère en Guyane que certains envisagent – on aurait envie de pleurer- comme une des conditions de son développement économique ?

La simple lecture de ces conclusions scientifiques même pour un non-initié avait de quoi révolter, précisait 97 LAND. Qui prendra en charge nos futurs petits « couillons » ? A-t-on déjà prévu la construction de centres où ces petits pourraient se voir appliquer des méthodes de stimulation cérébrale leur permettant de mieux s’insérer dans la société ? Barbara DEMENEIX évoque l’existence de telles méthodes.

A moins que l’existence de « crétins de la République » ait déjà été admise pour nos territoires ?

Mais vous entendrez un peu partout : BONNE RENTREE DES CLASSES. Merci chers Directeurs d’école, Merci aux représentants de l’Etat , Merci Mesdames et Messieurs les politiques, nous sommes tous complices.

 

*Journal Atlantico du 4 juillet 2016

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Théo LESCRUTATEUR

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7 Comments

  1. Antony Etelbert
    septembre 2, 2017 at 00:44 — Répondre

    Pourquoi relayer de telles inepties ? Surtout pour se flageller avec des théories pseudo- scientifiques.

    • septembre 3, 2017 at 22:08 — Répondre

      Votre révolte est légitime, mais vous n’êtes pas au bout de vos surprises. Le dada des scientifiques actuels consiste en ces formes dérivées de MCPH1 ( microcéphaline) apparues il y a environ 37 000 ans et qui se sont propagées sur la planète entière pour devenir prépondérantes à l’exception de l’Afrique subsaharienne. Les résultats de ces recherches ont exercé une controverse considérable dans le monde de la science.
      La microcéphaline est un gène situé sur le chromosome 8 humain et qui est exprimé au cours du développement du fœtus. Des études récentes ont démontré qu’il existe une corrélation forte ( 0,847 ) entre la fréquence génétique des gènes MCPH1 au sein d’un groupe ethnique et le quotient intellectuel mesuré au sein de cette population. Le gène MCPH1 semblerait prédire de manière significative les différences de quotient intellectuel entre groupes. Nous pouvons par exemple vous conseiller l’article paru dans la revue Intelligence en mai 2014  » The Relationship between Micocephalin, ASPM and intelligence ».
      Il convient d’être plus que jamais vigilant.

    • Raymonde ramdaya
      septembre 3, 2017 at 22:46 — Répondre

      Bravo Anthony. Très heureuse de ta réponse qui correspond exactement à celle que je m’apprêtais à écrire.

  2. septembre 4, 2017 at 04:25 — Répondre

    c’est un mensonge, l’intelligence doit être stimuler, c’est vrai qu’un enfant qui grandit dans une famille où l’accès aux savoirs est plus aisé, l’enfant va d’avantage développer des capacité intellectuels

  3. assia
    octobre 18, 2018 at 16:32 — Répondre

    Mais vous n’avez pas honte de diffuser ce genre d’article en tant que Noir ? Je comprends mieux les scores du FN aux Antilles et l’énergie que vous mettez à secouer votre arbre généalogique pour en faire tomber un indien ou mieux un blanc…
    Reprenez aussi les études sur l’infériorité intellectuelles des femmes par rapport aux hommes . On leur interdisait l’étude de la médecine ,de la géographie ou des sciences sous des prétextes farfelus. On sait comment cela marche. On donne une allure scientifique à un préjugé. Martelé dans le meilleur des cas, les personnes ciblés intériorisent le préjugé et n’osent même pas essayer. Il y a des tests avec stagiaires (femmes blondes). A un groupe on ne dit rien à un autre on les dévalorise en leur disant que c’est difficile pour elles etc Devine quel groupe réussit ?Normal que dans les pays pauvres les enfants réussissent moins bien des tests auxquels ils ne sont pas entrainés. A la rigueur si ça vous chatouille, faites un test entre 2 enfants de même milieu social…

  4. Fabrice
    juillet 10, 2019 at 07:50 — Répondre

    La vérité fait mal

  5. Kerry
    avril 26, 2022 at 15:54 — Répondre

    Les mensonges ne durent jamais

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