Baimbridge té cho
En passant devant cette rampe, impossible de ne pas penser à toutes ces générations de jeunes de la région Grande-Terre qui y ont usé leurs postérieurs depuis 1968.
L’admission dans les filières prestigieuses du Lycée Classique et Moderne promettait aux meilleurs à long terme un avenir radieux mais était aussi synonyme de départ obligatoire dans les universités de l’hexagone. Tous pensaient revenir. Combien y sont parvenus ?
Guy Konkèt avait bien saisi le changements de notre société avec « Maman je tape à la machine
Baimbridge Cho Baimbridge Cho… »
Les matchs profs contre élèves, les « tan » (pas encore Zouk) de Noël, les woch dans les manguiers au 3ème trimestre, les conseils de fin d’année, les listes du bac… Ah ! C’était le bon temps !
No Comment