Le samedi 27 avril, les 104 finalistes de la Grande Dictée du Sport ont été invités à disputer la finale du tournoi sous la prestigieuse Coupole de l’Institut de France, avec un texte lu et écrit pour l’occasion par Erik Orsenna, écrivain et membre de l’Académie française.

Au terme de cette ultime épreuve, 4 gagnants ont été désignés dans chacune des 4 catégories de compétition – élèves de CM1/CM2, collégiens, lycéens, adultes – et ont remporté des récompenses sportives…

À l’issue de la matinée, 4 grands gagnants de ce grand tournois ont été sélectionnés :

– Pour la catégorie élèves de CM1/CM2 : Roxane Le Gac, sélectionnée à la dictée de l’île de La Réunion ;
– Pour la catégorie collégiens : Valentin Muet, sélectionné à la dictée de Brest ;
– Pour la catégorie lycéens : Sofiane Bouhadi, sélectionné à la dictée de Montpellier ;
– Pour la catégorie adultes : Sybil Karakoyun, sélectionné à la dictée de Saint-Denis.

Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques a déclaré : « Organiser la finale de la Grande dictée du sport, programme phare de la Grande cause nationale 2024, sous la vénérable Coupole de l’Institut de France : c’est aussi ça la magie de 2024 ! Un immense merci à son Chancelier, Xavier Darcos, ainsi qu’aux secrétaires perpétuels des cinq Académies.

Toute ma gratitude également à Erik Orsenna, qui a rédigé un texte inédit pour l’occasion.

Avec la subtilité et l’humour qu’on lui connaît, il nous fait vivre le parcours d’un marathonien à notre image, humain si humain, comme un joli écho aux racines grecques des Jeux, à l’heure où la flamme olympique quitte Le Pirée, à bord du Belem, direction : la cité Phocéenne.

Un écho, mais aussi une exigence : celle d’unir le corps et l’esprit, idéal antique par excellence, que les humanistes ont revivifié, et auquel Pierre de Coubertin a redonné toute sa force. Dans la dynamique des Jeux et celle de la Grande cause nationale, cette ambition est renforcée, avec un cap : mettre le sport au cœur de notre société, en affirmant avec force qu’il fait pleinement partie de notre culture. »