Sur la gauche un champion du monde de football, à sa droite un décuple champion du monde de judo. Et un seul mot sur leurs lèvres : Gwada en fos !

Vous avez vu des images de la soirée NBA All-Star Game du dimanche 18 février avec la rencontre opposant les équipes de LeBron James et Steph Curry au Staples Center à Los Angeles.

Vous savez que Fergie s’y est ridiculisée, que les héros de Black Panther Michael B. Jordan et Chadwick Boseman, Jack Nicholson, Spike Lee, Schwarzenegger étaient dans les travées, mais nous ne retiendrons que cette image de deux champions venant de la même île : Teddy Riner et Thierry Henry.

Si Thierry Henry est assez discret, voire fuyant la presse française, une polémique est née sur ses propos peu aimables vis à vis de Neymar. Il a tenu à rectifier par un communiqué sa pensée  : « Certains journalistes devraient se détendre. Quand ils m’ont demandé si Neymar avait quitté le Barça l’an dernier car il était dans l’ombre de Messi, j’ai simplement expliqué :

1) Je n’ai aucune idée de la raison de son départ. 2) Que TOUS les joueurs sur cette planète sont dans l’ombre de Messi. 3) Qu’alors toute l’équipe devrait s’arrêter. 4) C’est peut-être pour cela que j’ai arrêté ma carrière (blague ha ha ha).»

Teddy est bon public et fait cette semaine la une de Paris Match qui l’a suivi en vacances en janvier sur son île, la Guadeloupe, délaissant pour quelques jours son emploi du temps contraignant. L’occasion d’évoquer des sensations le manger local et la risque de prise de poids, la langue créole, l’élément eau par la mer Caraïbe mais aussi la rivière.

Au fil de l’interview, on devine que la plus grande passion de Teddy Riner est son fils, Eden. Plaçant la famille comme son élément fondateur, il confie que sa raison d’être pour ces vacances est d’apprendre à Eden « l’art de vivre des Caraïbes ».

Vous penseriez le pere et le fils fans de judo ou de foot ? Raté ! Leur passion commune, la cuisine car les deux adorent goûter et manger. Mais il semblerait que le plus jeune soit aussi le plus ordonné.