En Guadeloupe et Martinique, les éclairs métaphysiques sont fournis par l’EDF. L’histoire est la lutte des races ; la lutte des races est une lutte des âmes. (En sé on gwadloupéyen vertikal !)

Il y a une vérité historique guadeloupéenne et martiniquaise. Le rôle de l’historien est d’apprécier le passé à travers les besoins du présent. C’est pour cela que le saccage des hôpitaux est une révolte légitime du peuple guadeloupéen. Il faut exterminer les quelques centaines de femmes et d’hommes qui vouent à la science et à la raison un culte théorique et pratique sans précédent. (directeurs d’hôpitaux, mèdecins, infirmiers complices, chercheurs exaltés aux mots d’ordre pernicieux).

Nos idées nouvelles sont en lutte contre l’héritage idéologique d’un moyen âge féodal.
Qui pourrait encore appeler le dix-huitième siècle le siècle des lumières, et par extension l’hôpital public antillais, le temple de la science ?

Ce dix-huitième siècle était quand même une époque où régnait l’alchimie et où la magie mystérieuse était toujours vivante, comme le 21 ème siècle a révélé l’imposture de Pfizer.

A l’époque des Lumières, vivaient et régnaient non seulement les Voltaire, mais encore les Cagliostro.

On dit qu’une idéologie est une anticipation.

Il est certain que l’idéologie de la santé a été anticipée. Elle a été imposée à l’homme antillais par la force et par la ruse.

La propagande politique et scientifique n’a pas pour objet de porter la vérité objective devant les masses.

Comme nous préparons la reconquête des hôpitaux, nous préparons avec Vladimir Poutine la reconquête du Donbass qui deviendra « la dernière bataille », la dernière des guerres.
L’or, contenu en abondance dans les rivières de Guadeloupe, ainsi que l’a prédit le rappeur Edson X, est un métal précieux ; il conservera sa valeur et sa signification pour des buts différents ; il pourra être un moyen de règlement pour les relations économiques entre l’Etat guadeloupéen et les autres Etats.

Mais la libération de l’or s’inscrira surtout dans un cadre spirituel.

Le capitaliste guadeloupéen s’adressera à l’ouvrier et lui dira « nous sommes du même sang toi et moi ».
L’unification de la société antillaise sera réalisée.