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ET SI LES GAZA AUX ANTILLES CHERCHAIENT L’AMOUR ?

ET SI LES GAZA GIRLS AUX ANTILLES NE CHERCHAIENT QUE DE L’AMOUR ?

 

 

Pour votre vocabulaire de survie, si vous êtes sur les plages pendant les vacances de Pâques, et que juchés sur les TMAX, se profilent de curieux couples , vous devez savoir que la GAZA , qui se revendique elle- même comme une femme « malélivé », matérialiste, vorace et chaude comme un bouyon. ( la musique), n’est que le pendant féminin du DOG, mauvais garçon avec attirail de chaînes et de colliers en or qui donnent le tournis.

Il est si facile d’accuser les GAZA, pourtant L’OBS du 17 mars 2013 nous prévenait que le vagabondage sexuel n’est aucunement consenti aux femmes aux Antilles. Elles n’ont jamais eu le droit d’assumer leurs désirs. Les GAZA renversent le cours des choses (en bien ou en mal chacun aura son opinion là-dessus).

Dans des îles moroses où tout avenir professionnel est bouché, vous aurez compris que les Gaza recherchent désespérément les hommes qui se comportent comme au cinéma, et qui leur donneront l’illusion que leurs journées sont stimulantes, qu’il n’y a plus de place pour l’ennui, et que leur vie ressemble enfin à un film ( même si c’est un film de gangsters).

Car, dissimulant des actes de violence physiques ou psychologiques, cet homme est en général agressif, mais elles interprètent cela comme un symbole de sa virilité, confortée par les images complaisantes déversées par les chaînes musicales, et peu importe qu’il soit totalement disjoncté, ou malade.

Nous savons que plus le mauvais garçon semble fort, plus il est faible et effrayé à l’intérieur. Les psychologues nous disent qu’au contraire l’individu inséré dans la société, se détourne de comportements violents, et recherchera l’apaisement.
Oui, la GAZA constamment sur ses gardes doit donner le change, toujours comme au cinéma.

Elle se noie dans la provocation, mais c’est pour mieux exister. Ses interrogations existentielles sont permanentes.

Quelle est mon attitude ? Mon regard ?
Quelles émotions je transmets ? Suis-je aussi dure et méprisable qu’eux ?
Ont-il envie de venir vers moi ou de fuir ? Est-ce que je semble inaccessible, ou mauvaise ?
Sont-ils fascinés par l’expression d’extraordinaire supériorité que je tire de mes mauvaises manières et de mes fréquentations ?

La GAZA est peut-être une parodie qui se révèle plus vraie que la réalité qu’elle est censée grimacer.

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Théo LESCRUTATEUR

Théo LESCRUTATEUR

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