Quand un américain découvre la Grande Galette, cela donne « Beach Guide to Marie-Galante – The Emerald World Where Time Has Stopped ».

Depuis sa retraite l’année dernière, consultant et spécialiste de l’environnement, responsable de l’assainissement des eaux de New York, Paul Sausville a du temps pour ses loisirs. Il vient de publier un guide pour les visiteurs potentiels américains de Marie-Galante – une terre que son épouse Nancy et lui, ont découvert il y a trois ans. Ils y sont retournés depuis à quatre reprises, et avec son guide, il pourrait bien devenir l’ambassadeur touristique de l’île aux Etats-Unis.

Depuis 20 ans, le couple passait  chaque hiver quelques semaines dans les Caraïbes. Après les lieux touristiques les plus connus, il y a environ trois ans, à la recherche d’une île lointaine avec de belles plages, une recherche sur internet les a fait découvrir Marie-Galante.

« Beach Guide to Marie-Galante – The Emerald World Where Time Has Stopped »  (le monde d’Emeraude où le temps s’est arrêté) est le premier livre de Sausville. Le livre de 172 pages comporte 80 photos de plages, de moulins à vent et aborde différents aspects de l’île comme la récolte de canne à sucre ou la population de tortues de mer, certaines espèces menacées d’extinction.

Comme il le raconte dans son livre, il a visité et rencontré des gens merveilleux sur l’île : « Nous avons été dans une douzaine d’îles et c’est de loin la plus jolie. Les gens sont vraiment spéciaux ».

Sausville exhorte ses compatriotes à ne pas passer à coté de cette beauté : les tarifs de location sur l’île sont moins élevés que le reste des Caraïbes, autour de $ 1 000 par semaine pour une belle villa avec piscine privée, le billet d’avion pour environ 800 $ l’aller-retour d’Albany en Guadeloupe, avec le ferry de Guadeloupe à Marie-Galante coûtant environ un autre 50 $, aller-retour. Même au Paradis, l’argent reste une valeur sûre.